| | niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me | |
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O. Niàmh Blueberry
▬ Messages : 25 ▬ Pseudo : Loù ▬ Citation fétiche : « Je me presse de rire de tout de peur d'être obligé d'en pleurer. » ♣ Beaumarchais.
| Sujet: niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me Sam 5 Juin - 17:19 | |
| welcome to jamaica © Unusual You NOM(S): Blueberry. PRÉNOM(S): Officiellement, le premier prénom de la jeune fille est Onóra mais tout le monde l'appelle par son deuxième prénom, c'est à dire Niàmh. DATE DE NAISSANCE: Niàmh est née le 12 août 1991. ÂGE: Du haut de ses dix-neuf ans, elle a encore un peu de mal à se rendre compte qu'elle est bel et bien une adulte. NATIONALITÉ: Niàmh est une irlandaise pur souche, incroyablement fière de ses origines. Quitter son Irlande natale a d'ailleurs été un véritable déchirement pour elle, mais elle n'avait pas tellement le choix. ÉTAT CIVIL (célibataire, fiancé, marié, divorcé): Célibataire et à la vue de ses relations amoureuses chaotiques, ce statut lui plairait presque. GROUPE : Got The Blue. Niàmh a eu le coeur brisé tellement de fois dans sa vie qu'il lui arrive parfois de se demander comment il arrive encore à tenir, logé dans sa poitrine. L'amour semblait être une histoire ancienne pour elle, surtout une fois arrivée en Jamaïque. Et pourtant...
Dernière édition par O. Niàmh Blueberry le Dim 6 Juin - 8:47, édité 7 fois |
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O. Niàmh Blueberry
▬ Messages : 25 ▬ Pseudo : Loù ▬ Citation fétiche : « Je me presse de rire de tout de peur d'être obligé d'en pleurer. » ♣ Beaumarchais.
| Sujet: Re: niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me Sam 5 Juin - 17:19 | |
| © mot-dit-net « LES PIRES HISTOIRES SONT DES HISTOIRES DE FAMILLE. » Jovette-Alice Bernier. « Je t’en prie, ne fait pas ça. Ne part pas avec elle. Tu sais qu’Onóra est tout ce qu’il me reste… » L’homme ne prit même pas la peine de se retourner, ne permettant donc pas à son ex-femme d’apercevoir le rictus qui venait d’étirer ses lèvres. En ce jour d’août, l’air très lourd de l’extérieur qui annonçait un orage imminent peinait à se frayer un chemin à travers les fenêtres ouvertes du premier domicile des Blueberry. Pourtant, si la plupart des irlandais ne se risquaient pas à mettre le nez dehors à cause de la chaleur accablante ajoutée à une humidité dérangeante, l’atmosphère la plus électrique était bel et bien à l’intérieur. « J’espère que tu n’es pas sérieuse ? N’essaye pas de me faire croire que ta fille puisse être un facteur de bonheur pour toi. Il me semble qu’hier soir, une fois que tu avais eu ta dose, elle ne comptait plus tellement. Je me trompe ? » Solamh Blueberry n’avait pas toujours été aussi cruel avec son ex-femme, Oona. Les deux s’étaient rencontrés il y a quelques années de cela, quand elle était entrée dans la librairie de l’irlandais. Ce qu’ils avaient ressentis lorsque leurs regards s’étaient croisés avait été tellement forts qu’ils l’avaient qualifié de coup de foudre. Tout s’était ensuite rapidement accéléré et c’est peut-être ce qui entraîna leur chute. Ils s’étaient mariés et Solamh découvrit que sa femme était enceinte, juste après s’être rendu compte qu’elle ne lui avait pas tout dit, notamment à propos d’une certaine tendance à la toxicomanie. Amoureux comme jamais, il avait tout fait pour l’aider à s’en sortir, abandonnant même son travail pour pouvoir s’occuper d’elle comme il le fallait. Mais un jour où elle laissa seule leur fille unique à la maison, âgée de quelques mois à peine, dans le seul but d’aller à la rencontre de son dealeur, ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase. Il engagea une procédure de divorce et obtint la garde de Niàmh, les juges ayant tranché sur une incapacité d’Oona de s’occuper d’un enfant correctement. C’était le temps des rancœurs, des mensonges et des mauvaises paroles. L’amour n’avait plus de place entre eux. « Je ne voulais pas te mentir. J’avais juste peur de te perdre… » Le brun claqua violemment le coffre de la voiture et s’empressa d’attacher sa fille dans le siège-auto. Cette âme innocente dormait du sommeil du juste et semblait bien loin de tous ces soucis. Il fit face à son ex-femme, les yeux baignés de larme et la voix tremblotante, bien qu’il fit son possible pour dissimuler son émotion. « Ce n’est pas ça le problème. Que tu décides de me mentir est une chose mais que tu mettes en danger la vie de notre enfant… Tu dois comprendre que malgré tous tes efforts pour t’améliorer, grandir dans cet environnement ne sera pas favorable pour Onóra ni pour toi, d’ailleurs. Je… ce n’est pas par plaisir que je l’éloigne de toi, c’est juste mon devoir. » Mal à l’aise, il détourna le regard, s’engouffra dans le véhicule et démarra, sans un regard en arrière, emportant sa fille vers une vie meilleure. Oona s’écroula sur l’herbe verte, le corps secoué de sanglots. Un terrible sentiment de culpabilité venait de l’envahir et maintenant qu’elle se trouvait au pied du mur, il était difficile pour elle de faire marche arrière. En l’espace d’une dizaine de minutes, la femme avait tout perdu ou du moins, tout ce qui comptait le plus pour elle. Elle n’arrivait même pas à décider si elle le méritait vraiment ou non. Tout ce qu’elle pouvait ressentir, c’était cette douleur qui lui tordait les tripes et qui s’insinuait jusque dans ses veines. « LA MALADIE DE L'ADOLESCENCE EST DE NE PAS SAVOIR CE QUE L'ON VEUT ET DE LE VOULOIR CEPENDANT À TOUT PRIX. » Philippe Sollers. « Jayden, il faut que je te parle. » La sonnerie de fin des cours venait de retentir et chacun des lycéens se concentraient en une masse indescriptible vers la sortie de l’établissement. Seule Niàmh se tenait à l’écart de tout ce raffut et de ce brouhaha habituel, visiblement angoissée puisqu’elle ne cessait d’enrouler une mèche de cheveux autour de son doigt, signe de mal à l’aise évident chez la jeune femme. Son petit ami soupira et fit signe à ses amis de l’attendre dehors. Tout le monde écoutait toujours avec attention ce qu’il avait à dire. Ils s’empressèrent donc de s’éloigner sans demander leur reste, avec des rictus moqueurs qui inquiétèrent légèrement Niàmh qui fit néanmoins semblant de ne rien avoir remarqué. « Qu’est-ce qui se passe ? » Le ton était agressif et dur, comme à son habitude. C’était sa façon de s’adresser à la personne qu’il aimait, bien que la jeune femme ne fut pas tout à fait persuadée qu’il puisse avoir des vrais sentiments pour elle. A vrai dire, elle était même plutôt sûre qu’il ne faisait que de se servir d’elle. Mais elle était amoureuse de lui et, naïve, avait cru pouvoir le changer. Mais de toute évidence, la vérité était que l’on ne changeait pas les gens. Surtout pas lui. Elle baissa la voix et se mit à chuchoter. « Je crois que… il y a une possibilité pour que je sois… enceinte. » Comme elle s’y attendait, son expression changea du tout au tout. Jayden haussa un sourcil, plutôt choqué par ce qu’il venait d’entendre. « C’est une blague, c’est ça ? Tu as appris par Chace que j’allais te quitter et tout ce que tu as trouvé à inventer pour me retenir, c’est de dire que tu pourrais éventuellement porter notre enfant ? C’est plutôt pitoyable, comme réaction. Je te croyais plus mature que ça. » Le dégoût qui avait percé dans la voix du jeune homme choqua plus Niàmh que ses paroles elles-même et elle se sentit plier sous les accusations. Alors comme ça, il comptait la laisser tomber ? Niàmh sentit sa gorge se serrer et ses yeux se remplirent de larmes. Elle détestait se sentir aussi faible et elle aurait aimé pouvoir répliquer quelque chose, n’importe quoi. Malheureusement, rien ne lui venait : faire preuve de méchanceté n’avait jamais été son fort. Cette constatation la conforta dans son incompréhension face à tout ce qu’elle pouvait subir, elle qui n’aurait pas fait de mal à une mouche. « Je… non, ce n’est pas ça. » Tout amicalisme avait disparu du visage du jeune homme. Son expression était devenu neutre mais Niàmh le connaissait bien et elle pouvait aisément deviner qu’il était en colère. La jeune femme le craignait quand il était dans cet état car il ne ressemblait alors plus à celui qu’elle pouvait aimer. « Ecoute-moi bien. » Il saisit son poignet et elle grimaça sous la douleur prodiguée par la force de la pression. « Je ne sais pas si ce que tu vient de me dire est vrai mais si c’est le cas, je te conseille de faire le nécessaire. J’ai quinze ans et il est hors de question que je gâche ma vie avec un gosse. J’espère m’être bien fait comprendre ? » Elle hocha la tête doucement, les larmes roulant désormais sur ses joues. « Bien. Ah, et au fait : nous deux, c’est fini. » Il la lâcha et s’éloigna pour rejoindre ses amis qui l’accueillirent d’une grande tape dans le dos. Niàmh, honteuse et attristée, ne saisissant pas encore exactement ce qui venait de se passer, se dirigea vers le sortie en courant, massant son poignet endolori. *** « Oui papa, tout va bien. Mais si, ils m’ont fait passer le test, je t’assure ! » Niàmh marchait dans la rue, son téléphone cellulaire vissé contre son oreille. Depuis un quart d’heure, moment où elle était sortie de l’hôpital, elle essayait de convaincre son père qu’effectivement, elle n’était pas enceinte et que les symptômes qu’elle avait cru être associés à une grossesse n’était que le résultat d’un gros stress. Il avait toujours été de nature anxieuse mais dès que ça la concernait, il se transformait en une véritable mère poule. La jeune fille ne s’en plaignait pas : elle n’était pas une adolescente facile et l’inquiétude de son père était parfois méritée. Elle savait également que sa surprotection permanente n’était présente que dans le but de combler l’absence d’une présence maternelle. Il n’avait jamais pu se remarier à la suite de son premier divorce et Niàmh, tout comme lui, en restait totalement bouleversée. Elle connaissait toute son histoire, son père ne lui avait jamais rien caché. Il aurait inutile de le faire, de toute façon : curieuse comme elle l’était, la jeune fille lui avait posé des questions très jeune. Niàmh regrettait que sa mère n’eut pas été capable de se sortir de son addiction. Si elle avait été plus âgée à ce moment là, elle l’aurait aidé. Malheureusement, âgée de seulement quelques mois, on ne peut pas faire grand-chose. Néanmoins, elle ne la jugeait pas. On avait tous nos problèmes et parfois, certains étaient plus difficiles à résoudre que d’autres et c’était sans doute ce qui s’était passé avec sa mère. « Oui, je suis là. Excuse-moi, je réfléchissais… Jayden, tu dit ? Oh, eh bien… » Elle se mordit la lèvre inférieure, mal à l’aise. Si elle lui rapportait mot pour mot la conversation qu’elle avait eu avec son ex petit-ami, elle savait pertinemment que son père s’énerverait. Parfois, le mensonge était préférable. « Je ne lui en avait pas parlé, je n’ai pas voulu l’alarmer tant que je n’étais pas sûre. Ecoute papa, je dois raccrocher ! On se voit ce soir ? » Après avoir confirmé à son père qu’elle se dépêcherait à rentrer, elle raccrocha et continua son chemin, le cœur un peu plus léger. « ON EST SOUVENT TROMPÉ EN AMOUR, SOUVENT BLESSÉ ET SOUVENT MALHEUREUX ; MAIS ON AIME. » Alfred de Musset. « Tu es sûre que tu ne peux pas passer me chercher ? Bon, d’accord, je comprends. Ne t’inquiètes pas, je vais me débrouiller ! Merci, passe une bonne soirée ! » Niàmh raccrocha son téléphone et quitta la devanture de la boîte de nuit, pour s’engager en direction de son appartement. La nuit était douce et claire, portée par la lune pleine. Cela faisait quelques mois qu’elle était arrivée en Jamaïque et elle ne regrettait pour le moment pas son choix. Bien sûr, son père l’avait très mal pris mais avait fini par s’habituer en comprenant qu’il n’y était pour rien et que la jeune femme avait juste besoin d’indépendance. Elle avait besoin de voir du monde, de s’envoler vers de nouveaux horizons, même si son Irlande natale lui manquait. Autant dire qu’elle n’était pas déçue du voyage ! Entendre parler de ce projet fou était sans doute la meilleure chose qui lui était arrivée ces derniers mois et enfin, elle se sentit revivre. Une nouvelle vie l’attendait, elle en était certaine. Elle tourna une rue et s’engagea dans une autre, moins éclairée en raison d’un manque d’éclairage ou plutôt d’un éclairage défaillant. Au début, elle ne prêta pas attention aux bruits de pas qui résonnaient derrière elle. Il n’était pas rare de voir des gens rentrer chez eux à cette heure de la nuit : la ville était plutôt active. Mais en constatant que les gens semblaient se rapprocher, elle se sentit mal à l’aise et tenta de se dérober, mais elle se retrouva rapidement encerclée. Ils étaient cinq, peut-être six et leurs sourires ne lui promirent rien de bon. « Alors, ma jolie, on ne t’as jamais dit que c’était dangereux de traîner seule le soir ? » Le leader du groupe semblait avoir pris la parole et Niàmh ne répondit rien, terrorisée. Elle avait peur. Figée comme elle n’avait plus été depuis très longtemps. Ce sentiment de faiblesse la submergea et elle faillit éclater en sanglots, si seulement sa fierté ne s’en était pas mêlée. Pourquoi était-elle incapable d’avancer ? Un jeune homme s’approcha et elle ferma les yeux, redoutant la suite de l’histoire. Mais une voix masculine résonna, intimant au petit groupe de se disperser immédiatement sous la menace. Il y eu des bruits de bagarre mais bien vite, elle les entendit déguerpir. Ce ne fut que quand son sauveur lui posa une main sur l’épaule en lui murmurant d’une voix douce que le danger était écarté qu’elle ouvrit enfin les yeux. Son Prince Charmant était devant elle et pendant un instant, elle se crut transportée dans les romans à l’eau de rose qu’elle lisait tant. Il était beau bien sûr, mais il venait surtout de la sauver. Par la suite, elle ne se souvint pas vraiment de ce qui se passa, juste qu’elle s’était mise à pleurer sur son épaule, le stress et la peur s’évacuant en même temps, tandis qu’il lui caressait les cheveux pour la calmer. Elle s’en voulu de s’être laissée aller de la sorte devant un inconnu et de ne pas avoir pu faire bonne figure mais après tout, ce qu’elle venait de vivre avait été d’une grande difficulté. Il l’avait alors ramené chez lui pour passer le restant de la nuit, conscient que ce serait beaucoup plus facile pour elle. Depuis ce jour, Niàmh su qu’Elias Barktwames allait tenir une place importante dans sa vie et lui donner enfin le sens qu'elle méritait. *** Cher Papa, Comme promis, je t’envoie une lettre pour te donner de mes nouvelles. Je sais, j’aurais pu t’appeler mais je sais à quel point tu apprécies que l’on prenne la peine de t’écrire. Et comme tu collectionnes les timbres, je suis persuadée que tu ne pourras pas passer à côté de celui de la Jamaïque ! Ici, tout se passe bien. Les gens sont géniaux et j’ai fait une rencontre magnifique la fois dernière. Mais je ne te vais pas tout te détailler dans cette lettre, car tu risquerais de t’inquiéter. Disons que les circonstances n’étaient pas joyeuses mais l’important n’est-il pas le résultat ? Quoiqu’il en soit, sache que tu me manques. J’aimerais beaucoup que tu me rejoignes mais toi qui n’aime pas beaucoup le soleil, je crains que le climat ne te plairait pas. Mais puisque je te viendrais faire un tour en Irlande pour les prochaines vacances, ce n’est pas grave. Essaye de ne pas t’inquiéter pour moi dans les jours qui viennent : je t’assure qu’ici, tout va bien. Au moindre problème, tu seras le premier à le savoir.
En espérant avoir de tes nouvelles très bientôt,Niàmh (qui t’aime, mais ça tu le sais déjà).
Dernière édition par O. Niàmh Blueberry le Mar 8 Juin - 14:21, édité 45 fois |
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O. Niàmh Blueberry
▬ Messages : 25 ▬ Pseudo : Loù ▬ Citation fétiche : « Je me presse de rire de tout de peur d'être obligé d'en pleurer. » ♣ Beaumarchais.
| Sujet: Re: niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me Sam 5 Juin - 17:20 | |
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Dernière édition par O. Niàmh Blueberry le Dim 6 Juin - 8:30, édité 4 fois |
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Alexander J. Jenkins
▬ Messages : 421 ▬ Pseudo : Fallen-angel ▬ Citation fétiche : "Faire l'amour fait perdre 360 calories. On fait un régime ?"
| Sujet: Re: niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me Sam 5 Juin - 17:27 | |
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Elias D. Barktwames
▬ Messages : 50 ▬ Pseudo : Lulute
| Sujet: Re: niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me Sam 5 Juin - 17:29 | |
| NIAMH, NIAMH, NIAMH ___ bienvenue à toi ( ) |
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Sidney White-LancasterFOR SID'S SAKE • this is us against the world
▬ Messages : 213 ▬ Pseudo : Mariche²
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O. Niàmh Blueberry
▬ Messages : 25 ▬ Pseudo : Loù ▬ Citation fétiche : « Je me presse de rire de tout de peur d'être obligé d'en pleurer. » ♣ Beaumarchais.
| Sujet: Re: niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me Dim 6 Juin - 6:42 | |
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Clyde B. Arrinston
▬ Messages : 100 ▬ Pseudo : microwave
| Sujet: Re: niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me Dim 6 Juin - 6:43 | |
| EMMA MA CHOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUTE x) BIENVENUUUUE Le prénom, et Emma alors là un lien s'impose en plus t'as mis une de mes signatures |
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A. Lysandre McAllister
▬ Messages : 192 ▬ Pseudo : Mélow. ▬ Citation fétiche : N'imitez pas ... innovez !
| Sujet: Re: niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me Dim 6 Juin - 6:44 | |
| welcomeuh ! sublime avatar ! bonne continuation pour ta fiche. |
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Maël Delarue
▬ Messages : 64 ▬ Pseudo : Peace♣Frog
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O. Niàmh Blueberry
▬ Messages : 25 ▬ Pseudo : Loù ▬ Citation fétiche : « Je me presse de rire de tout de peur d'être obligé d'en pleurer. » ♣ Beaumarchais.
| Sujet: Re: niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me Dim 6 Juin - 8:41 | |
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B. Isobel Jepherson
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O. Niàmh Blueberry
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O. Niàmh Blueberry
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Avery Phipps-GrahamAVY ◊ the other girl. losing my way.
▬ Messages : 260 ▬ Pseudo : Overnight Celebrity™ ▬ Citation fétiche : DTC.
more about you Profession: modèle pour le groupe midnight whirlwind. cookbook:
| Sujet: Re: niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me Mer 9 Juin - 12:50 | |
| J'te valide girl |
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| Sujet: Re: niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me | |
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| | | | niàmh ; because maybe, you're gonna be the one who saves me | |
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