© Woody Pepper

NOM(S): MILLER. PRÉNOM(S): Jaxhuem Zepplin. DATE DE NAISSANCE: Le 14 mars 1987. ÂGE: 23 ans. NATIONALITÉ: Ecossais . ÉTAT CIVIL (célibataire, fiancé, marié, divorcé): Célibataire. GROUPE : heart eaters.

N'importe quel romantique vous dirait que la vie c'est l'amour. Drôle n'est-ce pas ? Pourtant je suis du même avis. Ca ne veut pas forcément dire que je suis un romantique, quoi que j'avoue l'être un peu. Mais je n'imagine plus ma vie sans l'amour. Certes je ne le vis pas vraiment. Disons que je suis amoureux. Je ne dirai pas de qui, même si ça paraît plutôt évident. Sachez seulement qu'à chaque fois que je suis avec elle, c'est un sentiment si puissant qui me consume. Il n'y a qu'elle que je désire à ce point là. Mais ce n'est pas qu'un désir physique, c'est bien plus que ça, bien plus complexe, bien plus fort et bien plus puissant. Si je lui disais tout ça, elle me rirait au nez. Même vous, vous devez vous moquer de moi. Car de toute évidence, à me voir, je suis loin d'être le mec à me contenter d'une seule fille. Oui car en réalité, je pourrais avoir autant d'aventure d'un soir que je le voudrais si j'en avais envie. Et s'il m'arrive d'avoir des histoires sans lendemain, c'est à cause d'elle. Il faut qu'elle me remarque vous voyez. Elle me fuit, elle m'ignore. Et c'est le seul moyen que j'ai de l'atteindre. Enfin je dois dire que je suis un peu perdu, je ne sais plus vraiment quoi faire, je ne sais pas pourquoi elle fait comme si je n'existais pas. Alors j'enquête auprès de sa meilleure amie. Mais bref, au lieu de vous occuper de mes histoires de coeur, allez plutôt lire mon histoire, aussi passionnante soit-elle. Vous la retrouverez un peu plus bas.

© Woody Pepper

PSEUDO/PRÉNOM: M. ÂGE: En âge de faire ce qui me plait. FILLE/GARS: F. Surprenant peut-être. PAYS: FR. COMMENT AS-TU CONNU HEARTQUAKE ? Par Bazzart je crois bien. COMMENT LE TROUVES-TU ? WAOU ♥. AVATAR: Jamie Dornan. SCÉNARII OU INVENTÉ ? Scénarii. FRÉQUENCE DE CONNEXION: 7/7 (sauf que pour l'instant je suis en période de bac ^^). MOT DE LA FIN: .

L'Ecosse, c'est beau l'Ecosse, n'est-ce pas ? C'est vert, la bière y est délicieuse. Mon père, Joaquim Miller, était connu dans le monde entier. Il était le grand directeur d'une marque de voitures allemandes. Le genre de voiture que tout le monde rêve d'avoir, vous voyez le genre. Inutile de dire qu'il avait de l'argent pleins les poches. C'est d'ailleurs un peu pour ça que me mère s'est intéressée à lui. Bien qu'elle avait aussi beaucoup d'argent de son côté, mais on est jamais trop prudent. Ma mère s'appelle Elisa, elle était la rédactrice en chef d'un grand magasine de mode, elle aussi connu dans le monde entier. La classe mes parents, hein ? Bref, ils se sont connus par un ami en commun, je ne saurai vous dire de qui il s'agissait. Au début, il n'y avait qu'une attirance physique entre eux deux, ils passaient leur temps à coucher ensemble. Jusqu'à ce qu'au final la presse les surprenne sortant du même hôtel au même moment, et sorte un petit article sur eux, comme quoi ils formaient un couple vraiment très sexy. Avant cela, mes parents ne s'étaient jamais imaginés en tant que couple, mais cet article leur avait plu, d'autant plus qu'allez savoir pourquoi, leur côte de popularité augmenta d'un seul coup, on commençait à les inviter aux soirées les plus branchées. Et au fur et à mesure qu'ils passaient du temps ensemble, mes parents tombaient un peu plus amoureux l'un de l'autre. Jusqu'à ce qu'au final ma mère tombe enceinte. Et voilà que je suis né, le 14 mars 1987. Le plus beau jour de votre vie hein ? Oui car vous ne vous imaginez plus sans moi, sans pouvoir baver devant mon corps de Dieu, hein c'est vrai ?

« Jaxhuem vient ici tout de suite ! » Un petit regard mécontent sur le sol, ma mère était folle de rage, normal, je venais de pisser par terre. « C'est quoi ça, c'est quoi ? » "C'est du pipi maman" pensais-je. Je n'avais que trois ans. Vous voyez le genre. A cet âge là, quand tu sais que tu as fait quelque chose de mal, tu baisses la tête, et tu prends la tête d'un chien battu pour amadouer tes parents. Et bien c'est de cette manière que je procédais. J'étais cul-nu dans le salon. Ma mère voulait regarder les infos alors que j'avais plutôt envie de regarder les dessins animés. Je lui avais tout simplement fait part de mon mécontentement de ma manière bien à moi. Et je vous vois là, derrière votre écran ! Arrêtez de mater mon petit cul, non mais oh ! N'empêche que vous fondez déjà pour lui hein ? Vous fondez déjà pour moi et ma bouille d'ange, ouais je sais. Non, sérieusement, je reprends mon récit fort intéressant. Voilà donc que je venais de pisser par terre, juste devant la télé. Je savais que j'allais m'en prendre une, mais au lieu de ça, ma mère éclata de rire. « Chéri ! Ton fils a pissé devant la télé, et j'arrive pas à être autoritaire tant il me fait rire ! » Je levai la tête, doucement, un sourire tout content, tout victorieux sur le visage. « Vas t'en chenapan ! » m'avait crié ma mère en souriant et en me donnant une petite tape sur le cul. Je me mis donc à courir, en direction de ma chambre, jusqu'à ce que mon père m'attrape dans ses bras et me soulève comme s'il soulevait la coupe du monde. « T'es bien mon fils toi ! » Que voulez-vous, j'étais trop beau et trop craquant pour me faire engueuler. Pas étonnant que je devienne qui je suis...

A quatorze ans déjà, j'étais devenu moi. Enfin presque. Le fait que mes parents n'avaient jamais su être vraiment autoritaires avec moi, et le fait que je sois enfant unique n'avait pas vraiment joué en la faveur du garçon parfait que je devais être. J'étais vite devenu capricieux, pourri gâté, à toujours avoir ce que je voulais. J'ai alors commencé ma crise de l'adolescence, j'ai commencé à boire, à fumer, et à utiliser ce que j'avais entre les jambes. Surtout que les filles commençaient à me courir après. J'étais beau, et sportif en plus. Et oui, je jouais au basket ball, mon sport favori entre parenthèses. Je commençais donc déjà à être musclé. Et puis les garçons sportifs, ça plait aux filles, c'est même écrit de le génome de celles-ci. Et oui, je vous en apprends des choses, hein ? Bref, sans vouloir me vanter, j'étais le gars super beau que toutes les filles regardent aux récréés. Et évidemment, je sortais avec les plus belles filles du bahut, mais pas avec les pimbêches hein, avec les plus belles, et le plus intelligentes à la fois. Car oui, il fallait quand même remplir mes critères de sélection. Et à chaque fois que j'étais en couple, mon couple était le plus beau du bahut. Comme si j'avais choisi d'être beau et populaire. En plus de cela, mon père venait toujours me chercher avec sa super belle voiture du jour. Et oui, comme il est directeur d'une grande marque allemande, il avait le droit d'emprunter toutes les voitures qu'il voulait. J'étais beau, riche, intelligent. Et même si je vous raconte tout cela sur un ton un peu vantard, j'étais loin d'être prétentieux, mais plutôt modeste. Enfin je dois avouer que ça me plaisait quand même pas mal.

J'avais tout juste seize ans quand mes parents décidèrent de quitter l'Ecosse pour l'Angleterre, pour Bristol exactement. Oh, mes pauvres camarades, qu'allaient-ils devenir sans moi ? Oh, ma pauvre petite copine… Elle était belle, gentille, intelligente. Parfaite. On avait décidé d'essayer de tenir la distance, même si on savait que cela allait être très compliqué, de ne plus se voir, ou alors que très rarement, de ne plus pouvoir se toucher, s'embrasser, coucher ensemble. Mais ça ne coutait rien d'essayer. J'avais fait ma valise, on avait couché ensemble une dernière fois avant que je parte. Et voilà. Angleterre, me voilà !

« M'man, j'sors ! » « Jax, on vient d'arriver ! » « Et alors ? » Je quittai notre nouvelle demeure en claquant la porte. Cela faisait exactement quinze minutes et vingt trois secondes que nous avions posé nos valises en Angleterre. On venait tout juste d'arriver, mais j'avais un besoin incontestable de tester l'ambiance anglaise, les soirées anglaises. Ma petite copine écossaise me pensait en train de dormir, faut dire, il était tard. Je n'y allais pas avec pour objectif que de la tromper, non non, mais il fallait que je m'amuse. Mais il avait fallu que je croise le regard de cette fille. La plus belle que je n'avais jamais vu. Si je ne l'avais pas rencontré, j'aurais passé ma soirée à boire, et à danser, à m'amuser quoi. Sauf qu'elle avait changé tous mes plans. Je n'avais pas envie de boire, ni de danser. J'avais envie de coucher avec elle, et de me souvenir de cette soirée toute ma vie. J'envoyai directement un message à mon écossaise, l'informant que je rompais. Sans lui donner aucune raison. Elle n'aurait pas compris. Il fallait voir à quel point cette anglaise était belle pour me comprendre. De toute la soirée je ne l'avais pas quitté des yeux une seule fois, non pas une seule fois. Elle me regardait aussi, jouant avec moi, ce qui me donnait de l'espoir. Puis elle était allée aux toilettes. Je l'avais suivi, refermant la porte des toilettes des femmes derrière nous. Elle s'appelait Jaelyn. Et j'avais envie d'elle. Sauf qu'au départ, elle ne semblait pas vouloir coucher avec moi. J'avais insisté, pas méchamment cependant, et elle avait cédé. Au fond, j'étais sûr qu'elle avait envie de moi. Je l'avais déshabillée, avant de laisser ma langue sucer la moindre parcelle de sa peau, apprenant le moindre de ses traits. Je voulais me souvenir de son corps pour toujours, ne pas l'oublier. Puis j'avais commencé à l'emmener au septième ciel, me concentrant sur ce que je faisais. Je voulais que tout soit parfait. Je voulais lui offrir un moment magique. Lui faire plaisir. Et je dois dire que j'avais plutôt bien réussi. Jamais je ne pourrais oublier cette soirée, jamais. C'était ma rencontre avec elle.

Deux jours plus tard, c'était ma rentrée à Bristol. Sauf qu'on m'avait mis dans une mauvaise classe, j'étais dans le niveau au-dessous. J'aurais demandé à changé de classe si elle n'avait pas été là. Jaelyn. Si j'avais su que je la reverrai, je n'aurais sûrement pas sauté sur elle comme je l'avais fait le premier soir. Je me serais comporté en mec bien peut-être. Car de toute évidence, elle n'était pas comme les autres, je le sentais. Enfin ce que je veux dire, c'est qu'elle allait donné un sens à ma vie, de n'importe quelle façon que ce soit. Et je n'avais pas eu tord. Dès le début, on jouait au chat et à la souris. On couchait ensemble, n'importe où, n'importe quand, dans les positions les plus folles. Et on grandissait en même temps, devenant plus mûrs, plus matures. Mais jamais nous n'étions sortis ensemble, il n'y a jamais rien eu d'officiel entre nous. Pourtant si vous saviez ce que je pouvais ressentir pour elle. Un truc incroyable ! Mais j'ai trop de fierté pour lui avouer. Trop peur de montrer mes faiblesses. Je suis comme ça, c'est pas de ma faute. Et comme pour savoir qu'elle tenait à toi, je testais sa jalousie en m'approchant d'autres filles, et ça marchait plutôt bien. C'était plaisant.

Mais on a grandi. Tout cela a duré, jusqu'à ce qu'à un moment, je m'en lasse. J'avais besoin de plus. Et le pire, c'est qu'elle commençait à m'ignorer. Surtout quand il y avait du monde. Elle faisait comme si je n'étais pas là. Alors je me ramenais avec mes sois disant copines, et ça, ça attirait son attention. On couchait toujours ensemble, parce que c'était plus fort que nous, et que jamais nous ne pourrions lutter contre ce qui nous lie. Mais c'était compliqué. J'en pouvais plus de la voir m'ignorer devant tout le monde. J'aurais voulu vivre quelque chose d'officiel, de vrai quoi. De sérieux même, j'étais prêt à me jeter dans une routine avec elle. Et c'est pile au moment où j'ai commencé à m'en rendre compte que Facebook a fait son cinéma. Quelqu'un avait balancé : « Venez, on se tire tous en Jamaïque ! » Et hop, tout le monde direction Kingston ! Et je ne plaisante pas, loin de là. J'avais un diplôme dans la vente en poche, et quand j'ai dit à mes parents que je me cassais pour la Jamaïque, mon père m'a directement donné la direction de la concession de ces belles voitures allemandes dont il était le directeur général. C'était cool pour moi. J'avais tout pour être heureux. Tout sauf Jaelyn. Je ne la comprenais pas. Il fallait que je parle à Avery, sa meilleure amie, il fallait qu'elle m'aide à comprendre celle qui est si unique à mes yeux...

TON AVATAR EST BANDANT
bienvenue et bonne continuation x)