Heartquake
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 we are family • ft. soulmates

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Sidney White-Lancaster
Sidney White-Lancaster

    FOR SID'S SAKE •
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MessageSujet: we are family • ft. soulmates   we are family • ft. soulmates EmptySam 5 Juin - 17:11


we are family • ft. soulmates Nlczzl we are family • ft. soulmates 1267057286
just let me state for the record
we're giving love in a family dose, yeah


    « me faudrait du shit et de la vodka pour me remettre. tu purges mon énergie, c'pas croyable, gamine ». Elle me fout un coup par la tête, mais j'attrape son poignet et dépose un baiser au creux de sa paume. C'est vrai qu'on passe des journées complètes dans la chambre, malgré la température extérieure, malgré les appels au retour à la socialisation d'Andy, la culpabilité que je ressens à couper les appels d'Avy quand elle a le malheur de décider de m'envoyer un SMS. Tabbie sourit, puis se colle contre moi. Je cherche mes clopes du bout des doigts, je les cherches sur sa table de nuit, parce que je sais pas ce qui s'est passé la veille, on a foutu un putain de merdier un peu partout dans la chambre. Tant pis « file m'en une, les orgasmes suffisent plus. m'faut de la nicotine ». Je lui tends la mienne, les yeux rivés sur le plafond. Je dors même pas assez pour récupérer, je tiens à force de gober des comprimés. Je sais plus trop quand j'ai pris ma douche, je m'en fiche. La pellicule de sueur sur nos deux corps ne veut rien savoir de foutre le camp. C'est peut-être parce qu'on baise trop. Quoique, après sept ans d'attente, pas la moindre envie de jouer la carte puritaine. J'ai envie de m'envoyer en l'air avec cette fille depuis que j'ai quinze ans. Ça fait à peine un mois et des poussières qu'elle m'la accordé. Pour ça, y'a fallu qu'elle me surprenne en train d'entraîner Avery dans mes plans de malade où on s'est carrément retrouvés envoûtés pour rejoindre le foutu putain d'septième ciel. Ça a refroidi mes ardeurs en repensant à ça. Comme si j'trompais mentalement Tabbie à force de penser à Avy. Comme si même si j'voulais oublier que, cet après-midi là, pendant un temps, il n'a plus été question de Cartwright. Rien que Phipps et moi. Rien que son putain de bonheur, ses gémissements, ses cris « j'vais prendre ma douche, je prône le grunge, mais pas à ce point-là ». Je me redresse, non sans lui adresser un clin d'oeil et lui tendre la main. Elle écrase la cigarette contre le mur et me suit, tout sourire. C'est ce qu'on appelle une putain de symbiose.

    Sid le con a écrit:
    Hey vieux. Tu dois m'sortir d'ici. J'ai même plus la force de m'envoyer en l'air. Boîte, ce soir, que la famille. Pas de meuf. Rien que du fort, du shit et les White. T'en dis quoi?

    « tu sais où on trouve d'la neige, par ici? ». Je passe un t-shirt, non sans en brûler le col parce que j'étais trop flemmard pour jeter ma clope. Je jette un regard sur Tabitha, elle est déchirée. Encore une fois. C'est Artemis qui sera pas contente et me mettra sur le dos d'être en train de lui détruire toutes les neurones. Pas ma faute si les narines de Tabbie sont une autoroute, putain de merde « t'es dingue cartwright. carrément, ça fout presque la trouille ». Elle se marre. Elle est en petite culotte, au milieu de la pièce, étendue sur le sol. Elle regarde le plafond vert du salon. Je peux pas m'empêcher de remarquer à quel point elle est canon. Son t-shirt - un des miens - se soulève pour découvrir son teint laiteux et puis son ventre tout plat. Je vais vers la cuisine, attrape un fruit, puis m'agenouille à côté d'elle, passant la main dans ses cheveux « tiens mange ça ». Elle secoue la tête. Ça doit pas être assez hallucinant pour qu'elle accepte. J'fais fonctionner mes méninges, et puis j'souris. Je croque dans la pomme, puis l'embrasse, main contre le sol, l'autre sous son t-shirt. Tabbie se laisse faire, et le goût sucré de ses lèvres se mêlent au goût sur de la pomme jamaïcaine. Elle m'attire contre elle, et voilà que ça me reprend. J'ai encore envie. J'ai toujours envie. Mais y'est presque minuit et y'a Andy qui m'attend. Mon cousin. Mon frère. Mon alter-ego. Le meilleur mec sur la terre « encore ». Je lui obéis avec plaisir. Je pose mon poids sur elle, ma main descendant sous sa culotte. Un léger gémissement. Merde. Je me laisse encore tenter. Faut pas. Andy va m'tuer « demain tabbie. là, fais moi plaisir, mange ce bordel de truc à la con, tu veux? ».

    Sid le con a écrit:
    Je descends. T'es là?

    J'arrive en bas en replaçant mon t-shirt. Rien de très classe, mais mon cousin m'a vu plus amoché que ça. Comme genre à mon dernier entretien avec Visconti. Enfoiré de première, enculeur de mes deux. Je sens pas ce type. J'peux meme pas croire que j'ai osé lui faire suffisamment confiance pour lui demander d'la thunes, y'a trois ans, avant que Midnight démarre. Je fouille dans la poche de mes jeans pour en sortir mon paquet de clopes. Putain, y'était temps que je sorte de là, il m'en reste plus que cinq. J'aurais pas tenu la nuit « frimeur. tu m'as manqué ».
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Anderson Caufield-White
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MessageSujet: Re: we are family • ft. soulmates   we are family • ft. soulmates EmptySam 5 Juin - 18:02

    Andy le kiri a écrit:
    J'en dis que ça nique sa mère mon petit.

    Après avoir envoyé ce sms, Andy s'était tourné vers sa conquête de la nuit, et du jour. Généralement, il restait rarement avec une fille dans le lit jusqu'à l'aube, et se débrouillait toujours pour se casser, ou pour faire en sorte que la fille s'en aille. Pas cette fois. Mais celle-la était un peu différente ; elle s'appelait Carrie, était infirmière et dégueulait après chaque gorgée de Daniels. Jusqu'ici, elle n'avait rien de très charmant. Juste un foie sensible et des cheveux blonds comme le blé. Mais voilà, l'instinct protecteur et facilement attendri quand il s'agissait d'une beauté comme Carrie avaient eu raison d'Andy, et celui-ci l'avait prise sous son aile en la ramenant chez lui, la faisant goûter les joies de la drogue, et non plus de l'alcool. Carrie a ri, a montré toutes ses dents - et elle n'avait pas de caries (*out*) - et puis s'est jetée sur le jeune Caufield-White comme un lion affamé. Pour ne pas lui déplaire ! Andy a réagi de manière tout aussi sauvage, et les fringues avaient volé. Ébats violents, tendres, passionnels, électrisants. Un truc de fou. Un truc de FOU. Ils n'avaient cependant pas recommencé. Andy l'aurait mal vécu et aurait pris ce putain de risque de s'attacher - vraiment trop dangereux pour un junkie rock star indépendant.
    Bye bye Carrie, soufflait les lèvres d'Anderson sur le seuil de la porte de son appartement (à elle). Depuis que Sid s'envoyait en l'air toutes les cinq minutes avec Tabbie, Andy désertait leur garçonnière et passait le plus clair de son temps ailleurs, dans les squats des autres, dans les lits d'inconnues. Cela ne lui posait pas de problème, après tout, il était habitué à être vagabond et errant depuis toujours. Seulement, Sidney commençait à lui manquer, mine de rien. Il avait peut-être attendu cette relation pendant des milliards de siècles, mais son cousin ne devait pas non plus oublier qu'Andy avait besoin de lui, et qu'Andy sans Sidney, c'était juste rien. Une merde quoi ; pire que d'habitude. Et sans son repère fondamental, sans sa fondation première, son ciment, Andy se cassait clairement la gueule. Pour preuve, il n'avait même pas eu envie de fumer son joint du matin, parce qu'il avait l'habitude de le fumer avec Sid, avec un bol de céréales, le lait remplacé par la vodka et toujours devant la télévision, avec les dessins animés louches des aurores.
    Andy venait juste de sortir de la circulation pour rejoindre l'appartement que son meilleur copain pour la vie le textota. Il eut un sourire con, avant de relever la tête, et de répondre à l'arrache - en faisant même une faute involontaire.

    Andy le kiri a écrit:
    No j'suis dans ton ul.

    L'anglais se rattrapa aussitôt en renvoyant un message très inutile :

    Andy le kiri a écrit:
    Cul*

    Mais Sidney apparut dès lors. Nouveau sourire, plus franc cette fois, plus niais. Et puis l'envie habituelle de le faire chier qui revient. Andy hausse un sourcil quand Sid le traite de frimeur, et lâche un rire gras, portant dans l'air.

    - Ta tête de crétin aussi. Tu m'as l'air étrangement plus cabossé que d'habitude, cousin. L'effet Tabbie, huh? dit-il en lui donnant un léger coup de coude.
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MessageSujet: Re: we are family • ft. soulmates   we are family • ft. soulmates EmptyMar 8 Juin - 3:07


    Je peux pas croire que j'ai fantasmé sur un truc pendant aussi longtemps et que ça goûte encore meilleur de le consommer pour de vrai, pour de bon, du moins, quand je suis pas trop déchiré. Tabbie, j'sais pas, elle gobe les comprimés par poignée, pompe sur les joints comme une malade et j'me demande bien comment ça se fait qu'elle se soit jamais shooté. Encore heureux. J'me vois mal expliquer à Arty que je me trouve obligé de fourguer de l'héro parce que ma copine sait plus comment s'droguer. Quoi qu'il en soit, aussi merveilleuses soient les courbes et les baises avec Tabitha, j'ai envie de sortir. De voir des gens. De voir Anderson, en fait. Si je me tire quelques jours hors de la réalité, la principale chose qui va me faire revenir à la réalité, c'est notre groupe. C'est Midnight Whirlwind, et tout ce qui vient avec. Andy, qui est pour ainsi dire mon frère, l'seul mec que j'peux blairer en continuité ou bien avoir envie d'lui foutre une droite puis d'le prendre dans mes bras l'instant d'après. Andy, c'est celui qui me comprend sans que j'ouvre la bouche. Puis y'a Arty, mon âme soeur, la femme de ma vie, ma meilleure amie, la plus belle et chaude blondasse de cette putain de planète. Puis y'a l'égérie de notre band. Je savais qu'elle était canon, qu'elle devait être plus que bonne à froisser des draps, mais merde, Avery, c'est plus que ça. C'la seule qui réussit à me faire douter, parfois, d'la pertinence et d'la justesse d'ma relation avec Tabbie. Sept ans à attendre, suffit qu'elle me prenne avec Avy, qui griffait mon torse de ses ongles, alors que je remontais mes mains sur ses hanches, oubliant mon plan merdique et mon obsession pour Tabitha le temps de vivre c'moment. C'putain de moment qui me hante, parce que c'était bien. Trop bien même. Oh fuck, c'que ça fait chier. Sitôt sorti d'entre les jambes de Tabbie j'me remets à penser à ce qui m'a permis d'y entrer. C'est crade, même pour moi.

    Andy le kiri a écrit:
    No j'suis dans ton ul.

    J'adore ce mec, vrai, jl'adore. Je passe la main dans mes cheveux, pompe un grand coup sur ma cigarette. Le temps que je descende, non sans me remémorer ces dernières journées que j'ai passé sur les stimulants et le sexe, me rappelant à quel point c'était bien. J'finis par croiser le regard de mon cousin, en bas de l'escalier, de l'appartement de Cartwright, en fait. Il se doute que je dois avoir oublier le mot abstinence depuis que je suis avec elle, putain, ça fait tellement longtemps que jl'attendais, celle-là. J'voudrais bien, rien que pour lui gâcher ce moment de triomphe, lui parler de Rain. J'ose pas. J'ai pas peur qu'il me foute un poing à la gueule, nan, pire, qu'il se referme. Quand O'Rourke entre dans la mire, Anderson veut plus entendre qui que ce soit et s'allume un joint qui le défonce, à chaque fois. Il y a une astuce quelque part, jl'ai pas encore trouvé « Ta tête de crétin aussi. Tu m'as l'air étrangement plus cabossé que d'habitude, cousin. L'effet Tabbie, huh? ». Je ris, puis reçoit volontier le coup, amusé. J'fourre mes doigts dans ses cheveux, puis lui replace la tête, non sans lui tendre ma clope. On partage tout. Les filles, le shit, la musique. Tout « m'dit pas que t'en a jamais rêvé, mec. tabbie, c'est le rêve. puis au fait, t'a pas une gueule de type qui a pas tiré son coup, alors on s'contente de m'envier et on s'allume un joint, tu veux? ».
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