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NOM(S): matthews PRÉNOM(S): maxyne eléanore DATE DE NAISSANCE: 7 janvier 1993 ÂGE: 17 ans NATIONALITÉ: écossaise ÉTAT CIVIL (célibataire, fiancé, marié, divorcé): célibataire GROUPE : uc

Mon nom est Maxyne et non MAXYME. Je le dis parce que les gens ont tendance à déformer et je suis pas très indulgente ni patiente quand ça arrive. J'ai un caractère un peu fou, il faut dire. Je suis jalouse, obstinée, et je me fous totalement de l'opinion des 'adultes' si on peut dire ça comme ça. J'ai besoin de personne et je proclâme haut et fort que je suis indépendante et que je peux tout faire par moi-même. Il faut croire que j'ai été habituée bien vite à me débrouiller, et que je suis une personne plutôt orgueilleuse aussi. Je me laisse très peu attendrir donc n'essayez même pas de m'amadouer, ça ne se fait pas. J'ai une véritable carapace, et pour tout vous dire je ne sais pas à quoi elle me sert, parce qu'en dessous, je ne suis pas une petite fille fleur bleue. Je ne mesure peut-être qu'un mètre cinquante-quatre, mais je peux très aisément casser des gueules. Il vaut mieux ne pas me chercher d'ailleurs parce que je suis très facilement irritable. J'ai assez souvent mauvaise humeur, et je ronchonne pour un rien. Je déteste quand on m'appelle gamine, parce que je ne me considère pas comme les fillettes de mon âge. Après tout, vous en connaissez beaucoup des filles de dix-sept ans qui ont foutu le camp de leur trou perdu natal pour aller se perdre sous le soleil de la Jamaique? Moi non plus. Alors vous voyez, qu'est-ce que je disais? J'adore avoir raison, toujours critiquer. Je suis une critique compulsive et je n'ai pas ma langue dans ma poche. Je suis une véritable peste et je suis casse-pied, mais je m'assume. J'ai confiance en moi, d'ailleurs ce serait stupide de douter de mes capacités. Une autre chose à savoir sur moi. Je ne suis JAMAIS tombée amoureuse. De toute façon, qui est le timbré qui voudrait me supporter ? Bref, c'est pas tout mais il y a pas que ça à vous raconter. Parler de moi, je sais y faire, mais franchement ça peut devenir assez superficiel à la longue. Alors voilà, je vais vous raconter un peu plus en détail ma vie palpitante d'adolescente, pour vous expliquer en quelque sorte le pourquoi du comment je me suis tirée de chez moi.

Je pourrais vous dire que tout ça c'est la faute de mon père qui battait ma mère et moi et mes quatre frères, et que j'étais malheureuse et que je crevais de faim. Je pourrais vous dépeindre une histoire totalement dramatique mais surtout montée de toute pièce que j'aurais créée pour vous émouvoir parce que ce ne serait pas du tout le cas. En fait, je pourrais aussi vous dire que je vivais dans une famille d'accueuil et que c'était la misère absolue. Que nous étions adoptés parce que nos parents adoptifs voulaient faire du fric sur notre dos mais en fait là encore je serais à côté de la plaque parce qu'en fait, j'avais pas à me plaindre quant à ma situation de vie. Même que certains me trouveront sans doute un peu conne d'avoir quitté mon foyer fort sympathique, mais ce n'est pas ma faute, j'ai toujours aimé le remue-ménage.

En fait toute l'histoire a commencé parce que mon père, Richard Cameron Matthews était en instance de divorce de sa femme folle à lier, Louise-Alice Berthier, une française qui n'avait de chic que son prénom. À vrai dire, c'était une véritable charrue d'après les dires et ce serait sans doute pour ça que le mariage se termina rapidement. Après s'être envoyée en l'air avec le majordome derrière la petite forêt qu'entourait l'immense demeure familiale, la belle-famille cria au scandale et l'on jugea mieux de se débarrasser de la pauvre Louise-Alice. Celle-ci n'était bien entendue pas ma mère, mais j'ai toujours eu pitié un peu parce que dans l'histoire, elle était considérée comme la méchante. Pourtant, d'après les ragots, mon père était bien au courant de ses petits fricotages et faisait bien pire pour sa part dans son dos. Qui suis-je pour juger de toute façon. Moi l'enfant chérie d'un deuxième mariage... En fait non je déconne, mon père en était à son troisième lorsque je suis venue au monde.
Pour tout mettre au clair, la famille de mon père était une famille excessivement riche. En fait elle l'est encore, mais parler au passé d'eux fait plus tragique et amusant. Mon père est entrepreneur. Il construit des hôtels de luxe un peu partout sur la planète. Dernièrement, j'ai entendu dire qu'il aurait conclu une entente avec Dubaï, mais je ne suis pas trop sûre si c'est vrai ou non. De toute façon, c’est pas comme si ça m’intéressait. Ce qui a trait à ma famille ne m’a jamais intéressé, allez savoir pourquoi Probablement parce que j’ai exactement seize ans de différence avec ma mère, et que celle-ci est probablement plus immature que moi. Parce que oui, c’est la vérité, ma mère avait seize ans lorsqu’elle est tombée enceinte de moi. C’est d’ailleurs lors d’un voyage d’affaire à Cuba qu’elle a rencontré mon père, de vingt-trois ans son aîné. Ce fut le coup de foudre. Il l’a adoré du premier regard pour son magnifique 95C et elle pour le porte-documents signé Hermès qui laissait supposer bien des choses à son sujet. Un véritable coup de foudre, vous pouvez le dire. Toutefois, leur mariage a survécu à bien des périples, et c’est trois mois après sa rencontre que mon père a demandé Violeta Juanita Ruiz en mariage. Elle a dit oui sans hésiter et six mois plus tard je venais au monde. Comme par hasard.

Je sais maintenant que vous vous demandez pourquoi merde je vous raconte tout ça et que vous vous fichez sans doute éperdument si j’ai été conçue lors d’une longue nuit torride ou par une petite passe rapide dans les couloirs d’un hôtel en construction, et je vais vous éviter les détails de fornication de mes parents parce que moi non plus, ça ne m’intéresse pas. Si vous voulez par contre savoir ce que je fais en Jamaïque, alors là, pas de problème. Tout a commencé à treize ans, quand j’ai fumé mon premier joint en écoutant du Bob Marley. J’ai toujours adoré la Jamaïque, c’est con mais c’est ainsi. Alors quand mes parents ont commencé à vouloir m’envoyer vivre en pension dans un collège privé pour filles, j’ai tout de suite su où allait passer l’argent de mon seizième anniversaire. Mes parents m’avaient offert un chèque de quarante mille dollars pour acheter la voiture de mon choix. J’ai décidé de partir avec l’argent et de m’établir dans ce pays magnifique et d’y vivre ma propre vie. Je sais ça paraît fou et surtout illogique, mais la stupidité infatiguable de ma mère et le caractère mou de mon père allaient me rendre encore plus folle que je ne le suis. Pour ne pas devenir comme eux, il fallait réellement que je m’éclipse. Et puis de toute façon, je n’ai pas de comptes à rendre à personne.

Je suis ici depuis un an et je peux me compter chanceuse d’avoir au moins bénéficié de quelque chose durant ma vie avec ma mère. Elle m’a appris l’espagnol, et heureusement sinon j’aurais eu l’air plutôt débile ici. Je vis dans un petit logement, toute seule, et je bosse dans un café. Je suis serveuse, c’est cliché, mais bon on fait avec ce qu’on veut. Et de toute façon, j’ai ma liberté, alors le reste je m’en fiche. Je fais la fête et je mens régulièrement sur mon âge. Si on me demande, j’ai dix-neuf ans et trente-trois jours. Personne ne semble se poser des questions, et c’est peut-être mieux comme ça. En bref, ma vie est pas trop mal, même qu’elle est plutôt sympa.

© fya

PSEUDO/PRÉNOM: emesele/samaire. ÂGE: 20 ans, 21 dans deux mois woot woot. FILLE/GARS: transgenre PAYS: états-unis d'amérique. COMMENT AS-TU CONNU HEARTQUAKE ? je connais les administratrices : ) COMMENT LE TROUVES-TU ? vraiment laid, sérieux j'me demande ce que j'fais ici. AVATAR: selena gomez. je ferai une parenthèse sur le fait que je ne l'aime pas. SCÉNARII OU INVENTÉ ? scénario : ) FRÉQUENCE DE CONNEXION: 5.6/7. MOT DE LA FIN: j'ai toujours dit que jared leto était un pédophile. il a jamais voulu me croire.

merci merci d'avoir pris mon scénario
si tu as la moindre question n'hésite pas, ma boite mp t'es grande ouverte !
et puis surtout BIENVENUE

et qui tu traites de pédophile namého