© dutschclue

NOM(S): o'connor-ersley PRÉNOM(S): tara kaylee DATE DE NAISSANCE: vingt-trois décembre ÂGE: dix-sept ans NATIONALITÉ: américaine ÉTAT CIVIL: célibataire GROUPE: cold hard bitch.

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PSEUDO/PRÉNOM: larousse/marie. ÂGE: dix-sept années de vie. FILLE/GARS: le sexe fort, féminin. (a) PAYS: canada. COMMENT AS-TU CONNU HEARTQUAKE ? j'connais des vip. 8D COMMENT LE TROUVES-TU ? ultra moche. (a) AVATAR: un mélange entre ash et mk olsen disons. x) SCÉNARII OU INVENTÉ ? inventé. FRÉQUENCE DE CONNEXION: trop souvent. MOT DE LA FIN: pouet.

On dit souvent que notre famille fait qui l’on est. Je ne saurais pas vous dire qu’est-ce qu’en penserait ceux qui naissent orphelins, tout ce que je peux vous dire c’est que dans mon cas, c’est plus ou moins vrai, beaucoup plus que moins en réalité. Je suis née sans père. Enfin, il était toujours vivant et tout, mais il ne savait pas que « j’existais » jusqu’à ce que j’atteigne l’âge d’un an et demi. Vous me direz sûrement que c’est impossible que je m’en souvienne, et c’est évident que je n’ai aucun souvenir de ça, mais maman m’a souvent raconté cette histoire. Ma mère, c’est une chanteuse. Ou du moins c’en était une. Maia Hope Ersley. Elle ne resta pas dans les plus populaires bien longtemps. La cause? Elle arrêta tout simplement de chanter, pour retrouver mon père. Ça ne se passa pas comme prévu et elle tomba accidentellement enceinte, de moi. Sauf que mon père avait une copine dans le temps, alors ma mère ne lui a pas dit. D’après ce qu’elle m’a raconté, on vivait complètement enfermé. On ne sortait jamais, maman avait trop peur d’être vue par des paparazzi et qu’ainsi, papa apprenne que j’existais. Mais ce qui devait arriver arriva, et nous fûmes pris en photo, ce qui avisa mon père de mon existence. Tout qu’un début de vie, pas vrai? On pourrait croire que j’en resterais traumatisée ou quelque chose, mais la suite de l’histoire est belle. Après de nombreuses disputes et argumentations, mes parents sont revenues ensembles et se sont même mariées. J’avais trois ans à l’époque, assez vieille pour être la petite fille en rose - sous demande de ma génitrice - qui lance des fleurs. Le jour de son mariage, maman était enceinte. Un début de grossesse alors elle rentrait toujours dans sa merveilleuse robe blanche. C’est plusieurs mois plus tard qu’arriva mon frère. Mathis Noah O’Connor. Depuis qu’elle a accouché de moi, ma mère a arrêté de chanter. Du moins, sur une scène. Elle est devenue professeur de chant - assez connue vue son statut d’ancienne vedette - et c’est ce qui fait que chez moi, l’argent est loin de manquer. Je ne suis pas pourrie gâtée, malgré la croyance de l’enfant riche. J’ai été bien éduqué aussi. Ma plus grande qualité me viendrait de ma mère, je suis attentive. Mon pire défaut me viendrait de mon père. Je suis renfermée. Enfin, disons simplement que je ne suis pas une grande bavarde et une grande sociable comme ma mère, mais plutôt une solitaire par moments et mystérieuse comme mon père. Ouais, bon, tout ça pour vous dire.. Pour vous dire quoi au juste? Oh oui, que la famille c’est important - même si mon petit frère ( devenu grand maintenant ) est royalement chiant -.

Heureusement dans la vie, il n‘y a pas que la famille. Il y a les amis, ceux qui sont toujours là pour toi quand ça va pas, ceux qui te sortent, qui te changent les idées. Parfois aussi, ils peuvent te faire chier, s‘amuser à tes dépends, mais c‘est jamais bien méchant, du moins j‘imagine. Moi, j‘ai grandi avec mes deux meilleurs amis. Oui, oui. Deux garçons, d‘un an plus vieux que moi. Des jumeaux en plus. Ma mère disait souvent - persuadée qu‘elle était drôle et originale - que nous étions comme les trois mousquetaires. Et malgré tout, elle n‘avait peut-être pas tort. Quand j‘étais plus jeune, jusqu‘à mes deux ans environ j‘ai habité sous le même toit que les jumeaux, jusqu‘à ce que mes parents se remettent ensemble et décident une fois pour toute d‘emménager ensemble et de ne jamais plus se séparer. Je crois que les conséquences de ça, c‘est que ça nous a rapproché et que maintenant ils peuvent plus se passer de moi - et inversement, mais n‘allez surtout pas leur dire - J‘entends la sonnette en bas et je sais que c‘est sûrement Shawn ou Devon qui vient d‘arriver parce que y‘en a toujours un des deux qui vient me chercher pour aller à l‘école, quand c‘est pas les deux. Le truc, c‘est que ce matin, comme tant de matins auparavant, je me suis levée en retard. Je risque de savoir bien rapidement qui est le jumeau qui a pour mission de me grouiller ce matin. Je suis sur le point de changer de chandail, ma camisole de pyjama au dessus de la tête lorsque j‘entends ma porte de chambre s‘ouvrir en coup de vent. Aucun doute possible, c‘est le frais chier qui se trouve devant moi, j‘en suis persuadée. « SHAWN ANDREWS SORT DE CETTE CHAMBRE! » Je me retourne vivement, laisse tomber la camisole sur mon lit et attrape mon chandail rapidement alors que j’entends le rire du garçon dans mes oreilles et que la porte se referme tranquillement. Je soupire devant cette scène qui pourtant n’est pas si surprenante, venant de Shawn et j’enfile finalement mon chandail, replaçant quelques mêches de mes cheveux au passage. « Capote pas O’Connor, j’ai dû te voir nue une dizaine de fois au moins. » Sa voix derrière la porte parvient néanmoins jusqu‘à mes oreilles alors que mes yeux s‘arrondissent sans que le jeune Andrews n‘est l‘occasion d‘apercevoir ma réaction toutefois. Je me place devant le miroir, m‘assurant une dernière fois que mes cheveux sont correctes - non pas que j‘aie passé un long moment sur ceux-ci vu mon réveil tardif, mais au moins être certaine qu‘ils sont « potables«  - et j‘ouvre la porte devant un Shawn qui a toujours l‘un de ses sourires imbéciles accrochés au visage. Il a de la chance que je l‘aime celui-là, parce que croyez-moi que je me gênerais pas pour le frapper autrement. « J’avais moins de cinq ans, imbécile. » Je sors et le pousse légèrement alors que lui continue de rire, bien plus amusé par la situation qu’autre chose. Je descend les escaliers, fait face à ma mère qui me tend mon lunch toujours aussi bien préparée qu’à son habitude, prouvant encore une fois combien elle est mère poule et je dépose un léger baiser sur ses lèvres avant d’attraper mon repas du midi et de la saluer. J’entends mon père qui cri « Passe une bonne journée à l’école! » de la cuisine alors que lui, ne pars jamais travailler avant 9h30. Shawn salue mes parents alors qu’il sort le premier, m’ouvrant d’une fausse galanterie la portière du côté passager de sa voiture. Rapidement, je me rends bien compte que Devon n’est pas de la partie. « Il est où ton frère? » Shawn s’installe du côté passager, passe la clé dans le contact avant de faire démarrer le moteur de ce qu’il appelle être ‘son petit bijou’ et alors que sa voiture ronronne, il fini par reculer du stationnement de ma maison avant de rouler rapidement vers l’école. « Malade comme un chien. Il a passé la nuit à vomir. Ma mère dit qu’il a attrapé un virus ou j’sais pas quoi. En tout cas, il va manquer une journée palpitante au lycée. » Je l’envie presque, outre la partie être malade comme un chien..

La Jamaïque. À la base, c’était une idée folle d’Alex. Elle voulait partir, mettre les voiles, s’éloigner de tous ses problèmes d’adolescents que l’on retrouvait partout à l’école. Et puis, sans qu’elle ne le voit venir, c’est devenue une idée convoitée par plus de gens, des vieux comme des petits et son endroit de solitude rêvé est devenu l’endroit le plus convoité par la population de 16 à 25 ans. Résultat; ces vacances n’étaient plus prévues pour être les mêmes. Allez savoir comment elle a fait, elle a trouvé un moyen pour m’embarquer dans ce plan de fou de vacances. Et encore pire, allez savoir comment, j’ai réussi à convaincre ma mère de me laisser partir, le temps de plusieurs semaines. Certes, ça n’a pas été une tâche des plus faciles - même que je crois avoir jamais eu autant de difficulté à convaincre ma mère pour pouvoir faire quelque chose, une chance que mon père était là pour m’appuyer - et il m’a fallut lui promettre de l’appeler au moins une fois par semaine, même si je suis persuadée qu’elle s’attend à bien plus de ma part. Le point positif avec ce voyage, c’est que je serais plus obligée de me coltiner mon petit frère de quatorze ans qui se croit bien intéressant, mais en plus, j’ai réussi à faire en sorte que les jumeaux viennent avec moi. La tâche de convaincre leur mère - qui est un peu comme une tante pour moi - a été presque aussi difficile que de convaincre ma propre mère, mais à trois nous y sommes arrivés, et c’est les valises bien pleines - surtout dans mon cas - que nous sommes prêts à voir ce que le soleil chaud de la Jamaïque nous réserve. Beaucoup de surprises et de drames, j’ai l’impression, mais qui sait vraiment? J’espère simplement ne pas fondre comme neige au soleil devant une certaine Alex Dawson. Surtout pas depuis cette stupide déclaration il y a quelques jours. Quelle idée de boire aussi, de boire autant alors que je sais que je ne tiens aucunement à l’alcool. Et quelle idée aussi de lui dire qu’elle avait fait naître un doute en moi, un doute envers mes sentiments pour elle, un doute envers mes sentiments pour les filles en général. Mais il n’en tient qu’à moi de tenir ma langue et cesser de dire n’importe quoi. Je ne laisserais pas le soleil me taper sur la tête, je suis plus brillante que ça, non?

Les jumelles Olsen, une première et une dernière. x)
Je prendrais pas trop de temps, promis juré sur la tête de mon p'tit frère.

Un lien qui déchire tout, évidemment.
Merci rousse de mon coeur.

PTDR MACHOU.
Merci & évidemment, un lien de la mort qui tue tout. (a)

J'espère que t'es fière de moi.
Mais la suite devra attendre à plus tard, j'ai un ménage de chambre à faire *beurk*

JE T'AIME AUSSI

JE T'AIME ENCORE PLUSHEEEEEEEEEEUH.

Désolée du double-post, simplement pour dire que ma fiche est terminée.

Je sais que c'est pourri, mais merci de la validatiooooon. (a)
M'faudra un lien de la mort qui tue tout.