© psychozee

NOM(S): Parker PRÉNOM(S): Ginevra Beige Francine. Appelez-moi Ginny, s'il vous plaît. DATE DE NAISSANCE: le neuf juin de l'année nonante-et-un (91) ÂGE: dix-neuf dans quelques jours NATIONALITÉ: américaine ÉTAT CIVIL (célibataire, fiancé, marié, divorcé): célibataire GROUPE : à venir.

© psychooze

PSEUDO/PRÉNOM:Do ÂGE: 19. FILLE/GARS: F. PAYS: Belgique. COMMENT AS-TU CONNU HEARTQUAKE ? Bazzart. COMMENT LE TROUVES-TU ? J'adore ! J'aime ! Je suis fan ! AVATAR: Nina Dobrev, la magnifique. SCÉNARII OU INVENTÉ ? Inventé FRÉQUENCE DE CONNEXION: 7/7. MOT DE LA FIN: x.

once upon a time, in a country far, far away...

JUIN 1991
C'était une belle enfant, un magnifique bébé. Jason n'avait jamais vu de plus belle merveille, et s'il avait passé les vingt-six premières années de sa vie à la limite de l'athéisme, le voilà qui venait de devenir croyant. Cette chose, dont il n’arrivait pas à détourner le regard ne serait-ce qu’une seconde, ne pouvait être que le fruit d’une création divine. Elle était un don, un cadeau de la Providence. Jason Parker, jeune architecte américain tout juste devenu père, en était persuadé. Cette petite fille, sa petite fille, son bébé à lui avait cette capacité incroyable, rien qu'à dormir paisiblement, de remplir toute l'âme de son père de dizaines de sentiments indescriptibles: un amour inconditionnel, un désir d'assouvir tous les besoins, toutes les envies de cette petite chose, et l'appréhension que ce monde trop froid, trop cruel ne la blesse malgré lui. « Ginevra Beige Parker » souffla-t-il à son enfant endormi. Comme par magie, les yeux du nouveau-né s’ouvrirent, et Jason ne put que s’émerveiller davantage. Les grands globes marron de sa fille tournaient, allaient de gauche à droite, comme si elle s’empressait déjà de découvrir cet univers dans lequel elle venait d’atterrir il y a quelques heures à peine. Elle serait curieuse, c’était certain. Elle aurait un esprit scientifique, poserait beaucoup trop de questions, s’émerveillerait de la nature l’entourant... Peut-être voudrait-elle être médecin ? Ou journaliste de terrain ? Voilà que Mr. Parker vagabondait déjà dans mille et un rêves concernant sa perle précieuse. Le jeune père attrapa la main de l’enfant ; celle-ci lui serra le doigt avec une pression remarquable qui fit sourire Jason. Soudain, il ressentit cette envie irrépressible de la prendre dans ses bras, de la garder à jamais tout près de lui, pour être sûr que personne ne viendrait la lui prendre, et pour s’assurer également que sa petite Ginevra saurait, elle aussi, qu’il serait toujours là. Sa main libre caressa la joue encore trop rose de sa fille, et à cet instant précis, il comprit que pour le restant de ses jours, il ne pourrait dormir sur ses deux oreilles tant qu’il n’était pas certain qu’elle était heureuse et en sécurité. C’était donc ça, être père ? Oui, c’était ça.

it was supposed to be the easy part

Spoiler:

JUIN 1998
A Dylan,
Tu es invité à mon 7e anniversaire le dimanche 9 juin. C’est à ma maison. Il y aura un cloune, et tu peux venir à quatorze heures. C’est fini à dix-sept heures. J’esper que tu viendras.
Ta meilleure amie, Ginny.

A Ginny,
Oui, je viendrai à ton anniversère samedi.
Dylan.

A Dylan,
C’est dimanche, pas samedi ! Tu ne peux pas amener Jack Russell parce que c’est un chien qui sent mauvais et Maman ne veut pas.
Ginny.

A Ginny,
Ta maman est bête ! Jack Russell veut vnir aussi !
Dylan.

A Dylan,
Maman n’est pas bête, c’est toi qu’es bête ! Jack Russell ne viendra pas. Il va pété les ballon et manger mon gâtau.
Ginny.

A Ginny,
Alors je vien pas non plus.
Dylan.

A Dylan,
Bien.
Ginny.

Cela ne s'était pas terminé là. Le soir-même, lorsque Ginevra était rentrée chez elle, sa mère était tombée sur ces mots dans son cahier de brouillon. Aussitôt, elle avait elle-même écrit une lettre à Mrs Heggins, la mère de Dylan, pour lui expliquer que malgré le léger « différend » entre leurs enfants, Dylan était le bienvenu à la fête d'anniversaire de Ginevra. Au même titre que Mrs Heggins elle-même, parce que ce serait un « plaisir » de rencontrer la mère d'un si charmant garçon. Et, évidemment, Jack Russell pouvait venir, lui aussi. Ils étaient venus, tous les trois. Le chien – un Jack Russell que Dylan avait ingénieusement nommé Jack Russell – avait effectivement explosé quelques ballons, « mangé » le gâteau d’anniversaire, et, en souvenir, laissé quelques excréments ici et là, dans la maison. Sans compter le fait qu’il avait également poursuivi le clown dans tout le jardin.
Néanmoins, l’expérience avait été mémorable. Le lendemain, à l’école, Dylan s’était excusé du comportement de son animal de compagnie. Ginny l’avait rassuré ; elle ne lui en voulait pas, par contre, sa maman était fâchée qu’il ait uriné sur le tapis du salon. Et, « dis, t’as vu le nez de Miss McCarthy ? Il est vraiment énorme ! » avait écrit la petite fille sur le cahier de brouillon de Dylan, cette fois. « Hahaha. Et elle sent mauvais. Je suis sûr qu’elle est une extraterrestre. Et tu as vu sa jupe ? On dirait que c'est celle de ma grand-mère, et que Jack Russell a vomi dessus, et son --- » En même temps que la main de l’institutrice arrachait le cahier, le stylo de Dylan glissa sur la page, y laissant une marque profonde. Le petit garçon lança un regard en biais à sa voisine ; celle-ci semblait aussi apeurée que lui. Pourtant, au moment où leurs regards se croisèrent, ils éclatèrent de rire tous les deux. Il n’en fallut pas plus à Miss McCarthy pour prévenir leurs parents, et leur donner la première retenue de leur vie. Désormais, ils ne seraient plus voisins non plus. Pourtant, l’institutrice comme les parents ignoraient une chose : l’aventure « Dylan et Ginny » ne faisait que commencer...

and then we kiss

JUIN 2009
Passion. Ce soir, tout, tout entre Dylan et Ginny était une folle passion, destructrice, féroce, partout présente. Dans chaque regard qu'il lui lançait, chaque sourire qu'ils échangeaient ; chaque contact, aussi infime soit-il, débordait d'un désir brûlant, consumant, dévorant. De meilleurs amis, ils étaient passés à amants, ou l’avaient toujours été. Elle l’aimait, elle en était certaine. Il l’aimait aussi, elle le sentait, elle le voyait dans son regard. Une caresse délicieuse, divine remonta le long du bras de la jeune femme, et, en réalité, le tour était joué : Dylan avait laissé sa marque sur sa peau avec succès. Sa main, avec une douceur dont on ne l’aurait pas crue capable, se balada ensuite sur son ventre, son dos, sa nuque, son visage, ses jambes... envoyant par la même occasion une multitude de frissons le long de sa colonne vertébrale. Il savait y faire, il ne laissait aucun recoin de son corps dans l’oubli, et s’y prenait de telle façon qu’elle ne remarquait même pas qu’en même temps, il la déshabillait habilement. Son souffle chaud sur sa peau était à en perdre raison, et lorsque ses lèvres s’abattirent sur celles de Ginny, cette boulle énorme au fond de son bas-ventre prit furieusement feu. Elle le voulait, elle voulait qu’il la prenne, elle voulait lui appartenir. Elle souriait dans ce baiser fougueux, leurs dents s’entrechoquaient, le souffle leur manquait. C’était au tour de ses mains, à elle, de se glisser sur son corps à lui, de le parcourir, le sentir, lentement le dévêtir. Ce qu'ils vivaient n'était pas juste physique, c'était bien au-delà du spirituel, de l'ordre de quelque chose qu'elle n'avait jamais connu avant et qu'elle était incapable d'identifier. Elle l'attira vers le lit sans le lâcher. Sa robe tomba bientôt au sol, il se dépêcha de se débarrasser de ce qui lui restait de vêtements. Tout se déroulait tellement naturellement que résister, abandonner ne leur venait même pas à l'esprit. Inconscients de jouer avec le feu, ils tendaient la main vers les flammes pour se réchauffer. La douleur ne se ferait ressentir que plus tard... La lune éclairait la chambre à travers les rideaux légèrement écartés, et sous cette douceur lumineuse, Ginny se glissa entre les bras forts de Dylan, qui la garderaient prisonnière toute la nuit. Sa liberté ne lui serait pas rendue ? Tant mieux, elle n'en demandait pas mieux.

MOUAHAHAH. UNE AUTRE NINA.

Bienvenue !
Bon courage pour ta fiche et l'avatar.

Bienvenuuuuuuuuuuuuuue
Nina est une excellent choix c'est sur: bonne chance pour l'avatar !

NINA DOBREV, BON DIEU DE BON DIEU DE BON DIEU !
un lien obligé mademoiselle et bienvenue