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NOM(S): marloes. le nom de ma mère, mon père a jamais voulu me reconnaitre, il était pour le droit des femmes. PRÉNOM(S): artémis. toujours en l'honneur des femmes parait-il. mais bon, j'ai jamais vraiment compris le rapport entre la déesse de la chasse et le féminisme et de toute façon tout le monde m'appelle arty. lila est mon deuxième prénom mais sincèrement peu de gens sont au courant, je trouve que ça fait trop barbie, c'est juste ridicule quoi. DATE DE NAISSANCE: le vingt-quatre décembre. comment ça je suis pas un cadeau ? t'as vu ta tête à toi ? tes parents ont du pleurer quand ils l'ont vu pour la première fois alors avant de parler tourne sept fois la langue dans ta bouche et comme de toute façon tu vas dire une connerie, tais toi. ÂGE: vingt-et un ans. l'âge légal pour pouvoir boire dans tout les bars du monde. pas que cela m'ai empêché de le faire avant, mais maintenant la loi est de mon côté pour une fois. seul problème, c'est aussi l'âge d'assumer ses conneries ... . NATIONALITÉ: anglaise. et oui je viens de ce si beau pays où il flotte tout le temps. ça tombe bien, j'aime la pluie. et ceux qui disent que ça craint je les ***erde tout simplement. ÉTAT CIVIL : célibataire. et oui je suis un cœur à prendre. mais bon ne vous méprenez pas, je suis très bien comme ça pour l'instant. mon cœur m'appartient, quant à mon corps, tout dépend du degrés d'alcool dans mon sang. GROUPE : heart eaters. parce que je suis pas une sale romantique, que je pleure pas pour un mec et que moi quand je veux quelque chose, je réfléchis, et je l'ai par moyen détourné, n'importe lequel mais je finis par l'avoir.

mon journal

UNE FEUILLE QUI PASSAIT PAR LA QUOI

Franchement, je savais que sans lui on aurait pas été loin mais de là à nous suivre comme ça j’ai bien compris qu’il y avait un problème avec ce gars ; J’avais toujours dit qu’il fallait se méfier des beaux blonds, ils sont pas nets dans leur têtes. Et alors cette fois on était tombé sur un bon. C’était trop beau pour être vrai de toute façon, depuis quand les gens sont sympas dans ce monde pourri ? Depuis quand un mafieux file son fric pour aider un pauvre groupe à décoller ? Et bien depuis jamais. C’était évident que c’te gueule d’ange cachait un truc et pourrir nos vies semblait être une de ses passions. Le premier soir, j’ai bien cru que j’allais lui décrocher la mâchoire à ce grand blond pourri. Il croit que quoi ? Que j’ai l’air d’une pute qui se vend juste pour sauver mon groupe ? Vous pouvez pas savoir ce que ça m’a fait mal quand je me suis rendue compte que c’était exactement cela. Je ne l’aimais pas, coucher avec lui me dégoutait et pourtant, je continuais. Je continuais et je faisais comme si de rien était avec les autres. C’était ça le plus dur, sentir leurs regards, leurs mains sur moi me toucher et j’me disais à chaque fois, andreas a mis les mains au même endroit, il m’a exactement effleuré de ses lèvres où tu viens de le faire Sid. J’avais l’impression d’être un vrai bordel, un sac de nœud, tout ça à cause de l’autre mafioso. Mais je me disais que c’était pour le groupe, pour Sid, Avy, Andy et Tabbie. Il valait mieux moi qu’eux. C’était mon seul réconfort, les savoir loin de ce bordel. Pourtant ça me connait les bordels d’habitude, mais celui là, c’était le pire de tous, une vraie tuerie à lui tout seul. C’est la merde les gars, la grosse merde …

je suis pas un, je suis plusieurs,

JE SUIS UN VRAI BORDEL

J’étais plus ou moins défoncée. Je le sentais drôlement bien car j’avais l’impression d’entendre le vent. Oui, le vent était en train de me parler. Je savais que c’était fortement impossible, le vent ne parle pas. J’en avais conscience mais en même temps, je continuais à l’écouter, juste pour savoir de quoi il cause le vent. Au final, je n’ai pas vraiment eu le temps de le découvrir puisque j’étais arrivé chez moi. Ouah j’avais été vachement rapide. D’où je venais déjà ? Je ne savais même plus, en tout cas, j’avais du pas mal marché car j’étais pieds nus, mes chaussures à la main. J’avais l’impression de revenir sur terre, comme si l’atmosphère de ma soirée intime avec Sid et Andy s’estompait, ne me laissant qu’un mal de crâne et un trou béant dans mes souvenirs. Une bourrasque de vent à soulevé ma jupe et j’ai senti l’air frais jusqu’au plus profond de moi. Merde, j’avais pas de culotte. J’étais pourtant certaine d’en avoir mis une avant de partir, j’avais donc du la perdre en chemin. Ou alors je l’avais laissé dans mon garage avant de partir, c’était possible aussi. Je ne savais plus et pour tout dire, j’en avais rien à faire. J’ai claqué la porte de chez moi. Oui j’ai pas fait exprès mais c’est à cause de ce putain de vent qui cause. C’est à ce moment là que mes parents descendent l’escalier en courant pour savoir quelles aventures palpitantes j’ai vécu aujourd’hui. Ouais, j’ai des parents trop cool pour la plupart des gens, Andy et Sid particulièrement qui trainent toujours chez moi. Moi j’aimerais bien en avoir des normaux, des qui s’inquiètent quand je rentre pas à la bonne heure, des qui vivent pas à travers moi mais pour moi. Je sais qu’ils m’aiment, je le sais mais c’est pas pareil avec eux. Des fois je me dis qu’avoir des parents normaux ce serait pas du luxe. D’ailleurs ils étaient où, ils devraient déjà être là à me demander ce que j’avais fait, avec qui. J’ai à nouveau ouvert la porte pour la claquer encore plus fort. Sans doute les psys auraient appelé ça un besoin excessif d’attention, moi j’appelle ça mon seul moment d’amour de la journée, le seul moment où je me sens intéressante avec eux. Comment voulez vous qu’entre Si, Andy et mes parents, j’ai une vie simple, tranquille. C’est impossible. Je devrais sans doute pas mais j’aime ça, me sentir vivante, bien vivante.

Mes parents devraient vraiment être là. Je commence à flipper un peu et je monte l’escalier jusqu’à leur chambre, l’ouvre en grand. La pièce bouge un peu mais il reste cette boule qui veut pas s’en aller, celle qui dit qu’il y a quelque chose qui cloche. Je m’approche et entre dans leur salle de bain. J'ai senti mes jambes se dérober sous moi mais je n’ai pas pu m’empêcher de m’écrouler à genoux sur le carrelage. Merde maman, qu’est ce que t’as foutu ? Je m’approche d’elle, étendue au sol. J’attrape le flacon qu’elle tient dans sa main, j’arrive pas à lire mais je sais qu’il n’y en a plus aucun à l’intérieur. Là je flippe complet. Je la secoue comme un prunier d’une main, cherche mon portable de l’autre, le trouve dans mon soutien gorge. C’est pas l’ambulance que j’appelle mais Sid. Parce que je sais qu’il saura quoi faire, qu’il sera là pour moi, que lui au moins il se foutra pas de ma gueule quand il verra ma mine déconfite. Je connaissais trop Andy pour savoir qu’il laisserait pas passer ce moment, j’en aurais pour dix ans de blague pourrie du genre, alors Arty on fait la maligne hein, tu te rappelles le jour où t’as même plus sortir un son, toi la teigne. Je le savais alors c’est Sid que j’appelle. Je parle pas, je peux pas, je pleure juste. Ça devait être la première fois qu’il m’entendait pleurer. Je crois qu’il a stressé. Je me rappelle plus très bien ce qu’il a fait après, tout s’est enchainé très vite. Mon père a débarqué dans la pièce et s’est précipité vers moi. J’ai eu de lui dire, arrête, c’est elle qu’il faut sauver mais pourtant il a rien fait. C’était moi qu’il a réconforté, putain c’était moi qui faisait ces hoquets de stupeur. Il m’a giflé pour que je me calme. Il a eu raison, ça a marché, je me suis calmé ; Et il a pu m’expliquer, qu’il y avait de l’exta dans ce flacon, qu’elle n’était pas morte, qu’elle n’en avait pris qu’un seul, le dernier, que j’étais trop stressée. Il m’a proposé du shit, comme si c’était ce dont j’avais besoin. Pour la première fois de ma vie, j'ai comprit ce que vouloir tuer ses parents était. Je me suis relevée et je suis partie. J’ai couru, je suis sortie de la maison et j’ai couru le plus vite possible, le plus loin. J’étais pieds nus mais ça n’avait pas d’importance, je voulais juste courir, oublier, partir. Au final je suis arrivée chez Sid, ses parents ont eu peur de me voir comme ça et je crois que c’est pour ça que j’ai eu droit d’entrer. Je me rappelle très bien que cette nuit là, j’ai pas fermé l’œil, j’ai juste pensé. Au fait que je ne changerais jamais mes parents, que pourtant je les aimais de tout mon cœur. Sid était là, près de moi, il m’a serré dans ses bras toute la nuit. Il a ronflé aussi accessoirement mais c’était un son plutôt rassurant, qui disait que je serais jamais seule, jamais. C’est cette nuit aussi que j’ai compris que je ne pouvais pas vivre ma vie sans lui, mais que l’amour que je lui portais, inconditionnel, était seulement de l’amour, rien de plus. Que nous étions juste amis, les meilleurs, invincibles tout les deux, mais que ça ne pouvait aller plus loin. Il a ouvert un œil vers onze heures. J’étais déjà debout, je m’étais douchée, je fouillais dans ses affaires histoire de trouver quelque chose d’intéressant. « Qu’est ce qu’il se passe Arty ? » Ah oui, je ne lui avais pas parlé, pas prononcé un seul mot la veille, autant tout nié d’un bloc. « Ya rien à se mettre sous la dent dans ta piaule, c'est déprimant. Tu les cache où tes bouteilles ? » Je ne sais pas ce qu’il s’est dit, je ne le saurais sans doute jamais mais il n’a rien ajouté, m’a juste balancé un oreiller et la vie a repris son court, comme avant.



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PSEUDO/PRÉNOM: emy. ÂGE: dix huit ans. FILLE/GARS: fille. PAYS: france. COMMENT AS-TU CONNU HEARTQUAKE ? sur bazzart. COMMENT LE TROUVES-TU ? franchement ? overkiffant. j'adore le design, les couleurs, le contexte, les gens. juste e x c e l l e n t !. AVATAR: pixie lott. SCÉNARII OU INVENTÉ ? scénario, d'ailleurs j'aime trop celui là pour ne pas le tenter ♥ . FRÉQUENCE DE CONNEXION: 6/7. MOT DE LA FIN: écrire ici.

OMG PIXIE !
J'aime trop ton avatar, j'ai trop tes icons, j'aime trop les bannières de ta présentation, et j'aime trop le titre de ta présentation.
je te dis good luck pour la suite de ta fiche ainsi que pour avoir le rôle.

Pixiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie
J'ai faillit prendre le scénario mais je n'aime pas la compétition, mais Pixie est vraiment une fille orgasmique! Bienvenue en tout cas.